Au Laos, descendre du Nord vers Ventiane sur le Mékong, est un trajet plus rapide sur un bateau lent que de voyager par le réseau routier. |
| La baisse des eaux fait le bonheur des troupeaux de zébus. |
Le fleuve, puissant charie par endroit de belles retenues de sable. Les pêcheurs viennent poser leurs filets. |
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Certes, la déforestation grignote le couvercle forestier. Notre société standardisée axée sur le rendement devrait certainement revoir la donne mondiale avant qu'il ne soit trop tard. |
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Aujourd'hui, les agriculteurs du fin fond du Laos ne se soucient plus d'incendier les forêts si cela peut leur apporter des revenus et un confort supplémentaire. |
Notre bateau que j'appelle "Boat People" tellement il est chargé, s'arrête le long du fleuve, à proximité d'autres bateaux pour embarquer du matériel et des villageois. |
Par endroit, sur les berges, se dépose les limons du Mékong. Cela satisfait et donne du travail à une famille. |
Les éléphants sont encore une aide bien précieuse au Laos. Pour approcher les éléphants, passez la souris dessus. |
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Ma découverte du fleuve mythique Mékong avait débuté, il y a quelques années au Tibet, puis en Chine, au Myanmar, au Cambodge et au Vietnam. A chaque fois, ce fleuve long de plus de 4000 kilomètres, côtoie des activités et des peuples différents. |
Le fleuve se vit dès le lever du jour, parfois sous la brume matinale et jusqu'à l'heure où le soleil lance ses derniers rayons. |
Le Mékong traduit par l'ethnie Taï, signifie la mère de tous les fleuve. En Chine, son nom "Lancang" signifie fleuve turbulent. Avec ces deux définitions, la vie de ce magnifique fleuve est résumée. Ce puissant fleuve nourrit un grand nombre d'habitants de différents pays, mais il est également de plus en plus menacé par une pollution accrue et un nombre de barrages qui augmente.
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